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Deïphobos Acta

Deïphobos Acta

En bref

Cité-Etat : Fiéroc
PC : 0
PA : 0
Parent Divin : Aucun
Magie : Aucun

Deïphobos Acta
Le personnage
Nom : Acta
Prénom : Deïphobos
Surnom : Le sans nom
Âge : 23
Genre : Masculin cisgenre
Orientation : Hétérosexuelle
Cité : Fiéroc +1 Physique
Avatar : Sanemi Shinazugawa, Démon Slayer
Si demi-dieu
Parent divin : //
Magie : //
Le joueur
Pseudo : Josh
Âge : 24 ans
Suggestion : Celles des autres
Des remarques ? +1 en Esprit et Interraction grâce au bonus de début de forum et ouverture des compétences « Endurance » (phy) et Survie (Interaction)
Toulouse > Montpellier. Les fiches, toujours un truc horrible à faire
Comment avez vous connu le forum ?  J’crois être fonda.

Physique : 4
Esprit: 2
Interactions : 2

Compétences
Armes tranchantes-Armes de jet-Esquive-Escalade
Résistance-Intimidation-Perception-Stratégie

Description physique

T’es pas beau Deïphobos. Une triste réalité lorsque tu croises ton reflet dans le miroir. La frontière t’a amoché, marqué, scandé ton intrusion dans le monde et diffamé à jamais. Du haut de ton mètre quatre-vingt-dix, tu domines une vaste partie des humains, ta figure est immanquable. C’est celle d’un homme marqué par son audace dont il paya les conséquences. Ton visage est marqué de cicatrices électriques, voici ce qui arrive lorsque l’on croise avec horreur Tasil, le héraut de Svali dans des contrées où tu ne devrais pas y être. Sa foudre a marqué dans une douleur qui ne s’en ira jamais ton visage. L’horreur et la frayeur ont blanchi toute ta pilosité corporelle d’un coup, tu t’es vidé de ta mélanine. Tes yeux sont plus écarquillés qu’avant, toujours sur le quai de vif, ta musculature marquée et sculptée est toujours en éveil, presque contracté, tu es prêt à trancher. Tes yeux noirs balaient sans cesse lorsque tu as cette démarche sèche et assurée, tes pieds battent le sol et tes iris détaillent leur environnement. Tes fines lèvres sont toujours closes, tu appréhendes toujours qu’on vienne te parler, ton visage est fermé, peu engageant. Pourtant, il se cache un beau sourire étincelant lorsqu’on parvient à te l’arracher à vue.

Ton corps entier garde ces traces électriques, une grande croix sur le torse et plusieurs autres marques discrètes sur les bras, les mains, jambes et pieds. Elles sont plus foncées que ta peau laiteuse, pâle et offrent un étrange contraste. Lorsque la nuit tombe, tu as un air de bête sauvage. Parfois, on se demande si ta survie est un miracle ou une malédiction. Une chance pour l’humanité ou une terrible désillusion sur ce qui vous entoure. Tu as fini par apprécier ces cheveux blancs que tu laisses pousser et jongler dans le vent. Décoiffés ou en désordre, ils recouvrent parfois une partie de ce visage parfaitement rasé chaque matin.

Toujours dans ton armure, sous laquelle se trouve une grande chemise, ton épée à deux mains dans le dos, une épaisse ceinture en cuir vient serrer le tout, il a patiné avec les années, les voyages et les entraînements, parfois un peu rugueux comme tes mains sèches, cornées à force de manipuler ton arme et t’entraîner régulièrement.

Description mentale

Méfiant, c’est devenu un homonyme de ton identité. Depuis deux ans, ton regard n’est plus le même, tu doutes, tu te poses des questions, y a-t-il quelque chose derrière toi ? Sur les côtés ? Une embuscade ? Ces murs rassurants, qui te protégeaient du danger ne sont-ils pas une enclave parfaite pour te nuire ? Un peu parano sur les bords Deïphobos, tu n’accordes pas ta confiance aisément, tu as besoin de temps, de certitudes, pour t’assurer de la bonne volonté de chacun et tu ne te bases jamais sur l’apparence, mais seulement sur les actes. Tu es l’exemple d’une belle laideur. Amoché par le temps, mais pourtant tu as conservé cette noblesse d’âme qui a fait ta qualité première : la dévotion. Difficile de se dévouer si l’on a personne en qui croire. Tu n’es pas désespéré, tu n’es pas abattu, mais tu doutes, sans cesse. Quels plans ont les dieux pour toi ? Tu l’ignores. Peut-être jouent-ils avec la marchandise.

Tu as l’âme d’une bête effrayée, alors ce masque d’agressivité prend vite le pas, tu ne peux pas être déçu des autres, si personne n’est là pour te décevoir ? Tu ne peux pas t’attrister de la perte des autres si tu n’as personne ? Un stoïcisme de piètre qualité derrière le voile d’une illusion chimérique sur tes ambitions sociales. Se bâtir seul, tel l’Être, pourtant implosé par sa propre solitude. Tu es indécis, sauf quand tu tiens ton épée en main. Outil dissuasif, par sa taille, se dire que son tranchant dépasse le mètre entier te rassure.

Face au malheur des autres, tu n’es pourtant pas insensible, cela fait écho avec le tien et tu as tendance à tendre une main, maladroite, mais tendue malgré tout. Cependant, tu pars dès que tu as filé ce coup de main, que cela consiste à aider un animal, transporter de lourdes charges, etc. Les humains et les relations sociales : très peu pour toi, mais tu es incapable d’ignorer autrui.

On te surprendra souvent à faire sécher ta viande, tu es prévoyant de nature et tu aimes avoir quelques stocks quand tes finances le permettent, ça te permet d’avoir de quoi recevoir, si un jour, tu devais recevoir bien entendu. Toujours un peu trop de poivre dans ta nourriture, parfois des baies entières, tu manges un poil trop épicé, c’est pour donner du goût aux rares légumes qui franchissent ton assiette. Tu préfères les fruits bien juteux du printemps. Beaucoup de pâtes, de pain et de la viande

Tu vis seul depuis deux ans, tu as préféré quitter le domicile familial pour éviter la honte sur ta famille. Tu ne donnes jamais ton nom, tu es juste Deïphobos qui vit dans la région de Fiéroc, mais en contre-bas des montagnes, vers les champs et qui s’assure de la sécurité de quelques lopins de terre pour quelques agriculteurs. Bien sûr que la guilde des combattants te fait rêver, Hylda Frotz est un modèle et exemple. Lorsque tu te dis qu’elle n’a qu’un an de plus que toi, tu te demandes souvent « pourquoi pas moi ? », puis la réalité de ton niveau te rattrape. Tu seras sûrement un de plus parmi la masse de combattants et de brutes de la guilde.

Histoire

Mélissa et Thérippe Acta donnèrent naissance à un jeune garçon brun aux yeux noirs en dépit du froid qui battait les murs extérieurs de Fiéroc. Deïphobos vint au monde au milieu de la nuit et sa première bouffée d’air lui déchira les poumons, si bien qu’il en réveillât tout le voisinage. Un rythme difficile, l’enfant ne fait pas ses nuits et le père, bien que garde, a du mal à se libérer pour soulager le poids parental de sa femme qui fait des poteries à domicile et qu’elle orne elle-même.

C’est trop détaché de parler de toi à la troisième personne alors, je vais t’impliquer un peu plus. Tu es un calvaire pour tes parents, tu es bruyant, tu dors le jour et vis la nuit, tu épuises ta famille à petit feu et… Soudainement, tu as fait tes nuits. Au début tes parents sont surpris, Mélissa, ta mère, ne cesse de remercier Volru pour son aide. En réalité, c’est l’écoulement régulier de l’eau chez un voisin qui te berce et t’apaise. Ce voisin a un fils qu’il berce grâce à un objet. Tu ne sais pas encore, mais là-bas réside Calliphon, ton futur premier ami.

Tu rencontreras ce petit Calliphon à tes trois ans. Son père, Erilos est un homme méfiant qui a fui Calmlivr à cause de ses recherches. Il agit comme ingénieur dans la ville, tu n’es même pas sûr qu’il s’agisse de son vrai prénom, mais qu’importe. Son fils est un casse-cou, comme toi, vif, amoureux d’aventure. Bien vite, à vos cinq et six ans, vous unissez les enfants de la rue, « la guilde du quartier nord », comme vous l’appelez, un regroupement de petites filles et petits garçons qui se battent à l’épée en bois, courent partout, escaladent les murs pour grimper aux toits et chutent régulièrement.

Une éducation des plus basiques et stricte, comme à Fiéroc. Avec Calliphon, vous formez un excellent binôme, mais il est un peu vide, alors vers vos neuf ans, s’intègrent Anyté et Nestyia, deux filles très fortes en lancer, les meilleures de ton école.

Tu te lies d’amour avec Anyté, ses longs cheveux bouclés, roux, ses yeux verts, ses longs doigts fins et surtout, elle semble porter en elle les pouvoirs de Pytia, capable de manipuler l’eau et de transformer toute source aqueuse en vapeur. Impressionnante avec ses pouvoirs, elle peut se projeter dans les airs, et même déshydrater et assécher la viande en un clin d’œil. Elle est promise à une carrière militaire fulgurante avec un tel pouvoir.

Vos formations s’achèvent à seize ans et vous avez intégré la doctrine stoïque et utilitariste. Pour ton groupe du quartier nord, c’est l’heure d’appliquer strictement cette doctrine et rivaliser avec les autres guildes d’adolescents de la ville où vous vous livrez sans peur à des combats sans merci. Tu te distingues pour ta force brute et le maniement de grandes armes en bois.

Vous vous engagez tous les quatre dans la garde, jeune troufions soumis aux pires endroits pour faire vos gardes, vous êtes rapidement témoins des étrangetés aux frontières. Des créatures difformes qui attaquent et se déplacent la nuit, faute d’informations, vous préférez refuser le combat. Heureusement il y a très peu de villages à proximité des volcans qui sont actifs, mais vos supérieurs refusent d’y croire. Du moins, jusqu’aux premières victimes. Calliphon essaie d’étudier la chose, prendre des notes, sans succès et Nestyia est freinée par Anyté dans ses envies de lancer des javelots, il serait dramatique de déclencher la hargne ou quelconque capacité de ces créatures.

Mais après deux ans, la folie et l’audace vous guettent, vous décidez de vous enfoncer dans les montagnes lors d’une expédition pour garder la frontière avec Calmlivr à proximité des bois. Braver l’inconnu, même de quelques centaines de mètres. Unis comme les bras et jambes d’un même corps, vous poursuivez votre éducation en grimpant les montagnes, vous vous enfoncez dans les mines abandonnées avec vos épées en bois et fuyez dès qu’il n’y a plus de lumière, car certaines rencontres en milieu clos sont trop dangereuses.

Si seulement.

Il ne faut pas longtemps pour rencontrer votre nouvel enfer. Une créature, un corps de taureau, un buste de femme, des cornes électrifiées et des ailes sur le dos, une terrible lance dans l’une de ses mains. Voilà ce qui ressemble à la description de Tasil, le héraut de Svali. Vous étiez tombé sur l’une des douze créatures les plus destructrices du monde. La panique vous a pris, vous avez tenté de fuir. Tant bien que mal, vous vous dites que c’est jouable avec Anyté et ses pouvoirs, Calliphon a cartographié la zone, vous devriez pouvoir revenir en zone sûre. Eux non, toi oui. Tout s’est passé rapidement, mais la foudre a ricoché de Calliphon à toi, encerclant son crâne avant de le carboniser dans un bruit effrayant, laissant un corps fumé s’écraser au sol de tout son poids. Ton corps a tressailli, brûlé par la foudre qui venait de courir sur ta peau une première fois sans te tuer.

Tu as le pas vif, un bon rythme de course, tu dépasses les autres et prends les devants. Puis il y a ce cri qui te terrorise chaque nuit, le hurlement de douleur de ta chère et tendre, perforée par la lance de la créature divine, perforée sur toute la largeur du corps par les poumons. Il ne reste que toi et Nestyia. Hélas, celle-ci va périr aussi par la foudre divine qui vient encore ricocher à ton corps, tu t’écroules, le corps à sang, à vif, brûlé et tu te traînes, tes plaies prennent la terre, tu tires sur les racines pour avancer, abandonnant tout ton matériel pour t’alléger.

La vision la plus traumatisante est celle de Tasil qui marche à côté de toi, lentement, ses sabots frappent le sol en rythme avec ta respiration lourde, l’œil colérique. Puis elle finit par te soulever et te jeter hors des frontières interdites ainsi que les corps de tes amis qui ont trépassé. Est-ce un avertissement divin ? Un rappel à votre cloisonnement que vous ne pouvez quitter ?

La suite, tu préfères la passer sous silence. Soigné, marqué à vie, la risée de la garde, tu préfères fuir une fois rétabli, abandonnant ton nom pour sauvegarder l’honneur de ta famille et celui de ceux que tu connais. Tu n’as pas le courage pendant un an de visiter la tombe de tes amis. Tu n’as même pas eu le courage de regarder leurs parents dans les yeux, d’assumer votre folie. Tu es parti aux pieds des montagnes, servir dans les vallées différents viticulteurs, agriculteurs et maraîchers.

Tu es quelqu’un de « vide » Deïphobos, tu as toujours l’impression que le regard de Tasil coule sur ta peau et te persécute depuis les cieux. Tu es perdu dans un état second depuis deux ans où tu subsistes plutôt que vivre.

Il te faut un déclic.
(c) Apomenon

L'Être
Le Tout puissant dont on ne parle jamais

L'Être

En bref

Cité-Etat : Exilé
PC : 117
PA : 0
Parent Divin : Lui-même
Magie : Tout

Bienvenue
Bien le bonjour ! Je pense que tu connais déjà la maison, mais autant passer par la route complète !

Voilà un personnage à la fois audacieux et peureux que tu nous présentes ! Les stigmates de son expérience traumatisante avec un Héraut est chose rare, j'espère qu'il trouvera un moyen de soigner ses troubles, d'aller de l'avant et reprendre confiance en lui. Quelques fautes et coquilles, rien de bien méchant, mais attention !

Hâte de découvrir comment il va réagir aux bouleversements qui attendent Oroste et vont peut-être bouleverser son quotidien !

Te voilà validé, félicitations et encore bienvenue sur Oroste ! Tu peux dès à présent RECENSER TON AVATAR afin que personne ne te le pique et éviter qu'un nouveau joueur ne le sélectionne. Tu peux ouvrir ta FICHE TECHNIQUE afin de tenir à jour ta progression, discuter avec le staff de tes sorts au besoin et ensuite filer dans DEMANDES DE RP ET LIENS pour te dégoter tes premiers partenaires de RP ! Si ce n'est pas déjà le cas, pense à bien remplir ton profil afin qu'aucune information n'échappe aux autres joueurs.

Bon jeu parmi nous !
(c) Apomenon

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